Nous avons le plaisir de vous inviter à une projection spéciale du film “L’Education d’ADEMOKA” du réalisateur kazakh Adilkhan Yerzhanov. La projection sera suivie par un échange avec le Réalisateur et une dégustation de spécialités et des boissons kazakhes et françaises.
L’inscription est obligatoire et offertes pour les invités de l’Association française du cinéma kazakh au reservation@destinydistribution.com
L’ÉDUCATION D’ADEMOKA
ADILKHAN YERZHANOV
Kazakhstan — 2022 — 1h29 — fiction — couleur — vostf
TITRE ORIGINAL ADEMOKA SCÉNARIO ADILKHAN YERZHANOV IMAGE AZAMAT DULATOV SON ILYA GARIYEV MUSIQUE SANDRO DI STEFANO MONTAGE ADILKHAN YERZHANOV PRODUCTION STATE CENTER FOR THE SUPPORT OF NATIONAL CINEMA, QAZAQFILM SOURCE DESTINY FILMS INTERPRÉTATION ADEMA YERZHANOVA, DANIYAR ALSHINOV, BOLAT KALYMBETOV, ASSEL SADVAKASSOVA, SANJAR MADI
C’est l’histoire d’Ademoka, une adolescente migrante vivant dans l’illégalité et la pauvreté au Kazakhstan. Brillante et talentueuse, elle rêve de faire des études, mais son statut d’illégale et son absence de citoyenneté constituent un obstacle sérieux à la réalisation de son souhait. Quand une chance se présente pour Ademoka de recevoir une éducation, l’aide proposée vient d’un personnage plutôt inattendu : un loser alcoolique, Ahab, qui semble vouloir lui tendre une main secourable.
“L’éducation d’Ademoka” est une comédie surprenante, ponctuée de scènes burlesques et de poésie. C’est une ode à la liberté, à l’entraide humaine, ainsi qu’à l’accès à l’éducation comme ascenseur social pour une population marginalisée et maltraitée – le peuple des gitans – par des institutions tournées en dérision. »
18e Festival International du Film d’Éducation, Évreux, novembre 2022
ADILKHAN YERZHANOV
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Cinéaste, Kazakhstan
Né en 1982 à Jezkazgan (Kazakhstan), Adilkhan Yerzhanov est diplômé de l’Académie nationale des arts du Kazakhstan en 2009. Il fait partie de cette jeune génération de cinéastes qui surgit au Kazakhstan à la fin des années 2000, surnommée par les critiques « la nouvelle Nouvelle Vague » en l’honneur de leurs prédécesseurs. Yerzhanov et ses amis fondent un groupe qu’ils ont nommé le « cinéma partisan », qu’il définit comme suit : « Tout film vivant, qui veut parler de la vie réelle et de la société contemporaine. Le cinéma que l’État kazakh ne veut pas voir. » Extrêmement prolifique, après seulement une poignée de courts, il réalise une quinzaine de longs métrages de fiction en une dizaine d’années.
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